La main
de l'homme
Le plus souvent habité par ses régisseurs,
le Château Laroque doit beaucoup à ces hommes qui ont entretenu le vignoble et façonné, millésime après millésime,
le goût de ces paysages.
Nous devons citer Paul Boisard qui contribua à la fin du XIXème siècle à faire progresser considérablement les vins attirant ainsi l’attention des négociants de la place de Bordeaux.
Parmi les nombreuses reconnaissances, le Château Laroque obtint une médaille d’Or à l’Exposition Universelle de 1900 à Paris. Au décès de ce régisseur, les employés du domaine élèveront une statue à son effigie.
Plus récemment, l’ingénieur agronome Bruno Sainson signera une trentaine de millésimes installant Château Laroque parmi les Grands Crus Classés de Saint-Émilion.
« Perpétuant les gestes hérités
des femmes et des hommes qui nous ont précédés,
nous prenons le plus grand soin de nos terres, de nos vignes et de nos vins. »
David Suire
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En nommant David Suire,
Xavier Beaumartin poursuit l’œuvre de ses prédécesseurs, pleinement conscient des grands enjeux qui attendent Laroque.
Il s’entoure d’une équipe expérimentée et engagée pour prolonger l’histoire et respecter le caractère de ce cru qui l’a rendu si fort au fil des siècles.
David Suire
travaille depuis plus de vingt ans à Saint-Émilion sur les terres calcaires de crus voisins, Premiers et Grands Crus Classés. Tout en poursuivant cette mission, ce fils de vigneron - devenu œnologue - conduit Laroque avec l’ambition de continuer à faire briller ce grand terroir.
A ses côtés, une vingtaine de vigneronnes et vignerons passionnés dont Noémie Bonjoux, à la vigne, Marie-Aglaë Fougère, au chai, Amandine Bidault de Gardinville et Claire Guyot au commerce et à l’administration… Autant de femmes et d’hommes qui se voient confier Laroque au quotidien.
Leur travail prend tout son sens grâce à leurs qualités conjuguées. Rigueur, souci du détail, patience et humilité dans un seul et même objectif, faire à Laroque de grands vins.